jeudi 17 décembre 2009

Journée internationale de la solidarité humaine


Le concept de la Journée de la solidarité humaine a pris naissance à l’occasion du premier anniversaire des événements du 11 septembre 2001. Bien plus que la seule commémoration des mouvements de solidarité suscités par le drame, il s’agissait essentiellement de donner suite à la prise de conscience qu’il a générée pour contribuer à la réflexion sur les conditions d’une solidarité universelle et sur les valeurs éthiques et spirituelles communes susceptibles d'orienter les sociétés de demain. Car s’il y a en effet urgence à redécouvrir ou à redéfinir en profondeur les valeurs d’une communauté humaine digne de ce nom, la question demeure de savoir comment, de façon concrète et constructive, donner un sens effectif aux notions de tolérance et de solidarité.

La journée de solidarité concerne tous les salariés relevant du code du travail (et ceux relevant du code rural). Toutefois, s’agissant des salariés de moins de 18 ans, il convient de tenir compte des dispositions particulières régissant le travail des mineurs. Ainsi, si la journée de solidarité est fixée un jour férié, elle ne concernera pas les jeunes travailleurs, puisque, sauf rares exceptions, le travail des salariés de moins de 18 ans est interdit pendant les jours fériés. Si un accord collectif fixe un jour non férié comme journée de solidarité, il appartient aux partenaires sociaux de se prononcer sur les conditions dans lesquelles ces jeunes salariés effectueront cette journée.

Conclusion:

La solidarité internationale, c’est prendre en compte la réalité de ces inégalités, en comprendre les causes et agir pour les combattre. Tous les acteurs de la société peuvent s’y engager : pouvoirs publics, collectivités territoriales, entreprises, médias, organisations syndicales, associations… Chaque citoyen est concerné.

Titre: Le concept
Lien: Internet
Date: 18/12/09
Site:
http://www.fondationostadelahi.fr/front_content.php?idcat=2

Titre: Qu’est ce que la « journée de solidarité » ?
Lien: Internet
Date: 18/12/09
Site:
http://www.travail-solidarite.gouv.fr/informations-pratiques/fiches-pratiques/duree-du-travail/journee-solidarite.html

Journée Internationale de la solidarité Humaine



Introduction:
Cette journée s'est crée pour y être un peu plus solidaire avec ce qui l'ont besoin. C'est un jour dans lequel tout personne sent plus de responsabilité à l'heure d'aider les démunis. Celà est fait pour résoudre les graves problémes des autres. Mais il reste encore beacoup de chose à faire


1.La SOLIDARITE est un sentiment de responsabilité et de dépendance réciproque qui pousse les Hommes à s'aider mutuellement : " un pour tous, tous pour un ". Ainsi les problèmes rencontrés par l'un ou plusieurs des membres d'une Communauté concernent l'ensemble du groupe. La solidarité conduit l'homme à se comporter comme s'il était directement confronté au problème des autres,sans quoi, c'est l'avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être compromis.La SOLIDARITE HUMAINE est un lien fraternel qui fait prendre conscience que tous les Hommes appartiennent à une même Communauté d'intérêt : "Nous sommes embarqués dans le même bâteau".Des changements climatiques en passant par la pandémie du sida ,l'Humanité se trouve confrontée à des problèmes qui nous concernent tous. Pour y faire face les Hommes doivent se montrer solidaires les uns vis-à-vis des autres afin de pouvoir affronter et résoudre ces problèmes mondiaux.L'Organisation des Nations unies a décrété le 20 décembre Journée Internationale de la Solidarité Humaine pour attirer l'attention sur l'importance de la solidarité dans la résolution des problèmes mondiaux à savoir la faim, la pauvreté,le sida,les guerres, les changements climatiques etc ... "Quand la case de ton voisin brûle, aide le à éteindre le feu sinon ta case risque de subir le même sort".

2.Si la solidarité a un sens, il faut l'entendre universellement, sans restriction. Solidaires, nous ne le sommes pas seulement de nos proches, de ceux qui sont des "nôtres" (famille, amis, clan, communauté, société) ; nous ne le sommes pas seulement des plus démunis, de ceux qui se trouvent avoir besoin de notre aide ou de notre générosité. Solidaires, nous le sommes de chacun singulièrement, et de l'humanité dans son ensemble. Ce n'est pas un vœu pieux : d'une certaine manière, nous n'avons pas le choix, et les grandes crises du monde contemporain (11 septembre, tsunami, guerres, etc.) se chargent de nous le rappeler si nous l'avions oublié. Reste bien sûr à donner un sens effectif à ce sentiment irréductible d'une solidarité nécessaire de chaque homme avec tous. Reste à définir, de façon concrète et constructive, au-delà des clivages culturels mais aussi de la seule solidarité de circonstance, les moyens de pratiquer, de cultiver positivement l'appartenance à une communauté humaine digne de ce nom. Les enjeux d'une telle réflexion sont à la fois sociaux, politiques, culturels, éducatifs, philosophiques. Parce qu'elle ne se résume pas à une belle idée, la solidarité se pratique et se cultive, en effet.

3.Alors, alors s'il est vrai que cette journée ne devrait même pas exister tant le principe de la solidarité devrait être appliqué par tous et tous les jours, il est bon quand même de faire une piqûre de rappel.Alors moi aujourd'hui qu'est-ce que je peux faire concrètement ?Peut-être aller donner les vêtements de mes enfants qui sont trop petits pour eux. Peut-être aller donner des denrées alimentaires au secours populaire ? Peut-être tout simplement appeler quelqu'un de ma famille ou de mon entourage qui a tendance à être isolé ? Ou bien aller voir sur
ce forum si quelques parents ont besoin de votre aide. Il y a tant de choses à faire finalement...

Conclusion:
Je pense que tout personne avec des bonnes ou correctes conditions de vie devrait aider d'une maniére ou d'une autre à avoir un monde meilleur pour tous en étant solidaire avec les plus démunis qui l'ont bésoin. Je trouve très bien de participer à cette journée, c'est une bonne forme de commencer à être solidaire avec les autres.





Bibliographie:
1.Titre:Qu'est-ce que la solidarité humaine ?
Date de consultation:18/12/09
Adresse URL:http://atelier.rfi.fr/profiles/blogs/20-decembre-2009-journee
2.Titre:Solidarité
Date de consultation:18/12/09
Adresse URL:http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=collection&no=642
Photo.Titre:Un monde solidaire
3.Titre:Choses à faire
Adresse URL:http://bebe.doctissimo.fr/blog/3630-20-decembre-Journee-Internationale-de-La-Solidarite-Humaine.html
Photo.Titre:Un monde solidaire
Date de consultation:17/12/09
Adresse URL:http://www.buddhachannel.tv/portail/local/cache-vignettes/L150xH150/400-solidarite-humaine-64a97.jpg

lundi 14 décembre 2009

Journée Internationale de la solidarité Humaine

Journée de la solidarité humaine

1.L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, fo1.L’idée de solidarité humaine à l’échelle mondiale peut changer le monde, a déclaré Lech Walesa, fondateur du mouvement ouvrier « Solidarnosc » et lauréat du prix Nobel de la paix en 1983. L’ancien Président de la Pologne a inauguré la cérémonie de lancement de la première Journée internationale de fCette Journée, proclamée par l’Assemblée générale en 2005, a pour but de souligner l’importance de la solidarité pour faire progresser l’ordre du jour des Nations Unies en matière de développement, en particulier, la lutte contre la pauvreté. La Déclaration du Millénaire, adoptée par les chefs d’État et de gouvernement en 2000, définit d’ailleurs la solidarité comme l’une des valeurs fondamentales essentielles aux relations internationales du XXIe siècle. Journée Internationale de la solidarité Humainegfla solidarité humaine du 20 décembre 2005.
La solidarité, ce n’est pas seulement de la compassion. C’est un sentiment d’unité et de responsabilité commune, a souligné Lech Walesa. Nous devons en faire la base de l’ordre mondial contemporain. Elle doit réunir la communauté internationale pour l’amener à réaliser sa supériorité sur les intérêts nationaux, a-t-il voulu, en appelant à s’opposer à la vision de conflit et à y répondre par une vision de principes basée sur cette valeur.

Journée Internationale de La Solidarité Humaine

2. Nous ne pouvons résoudre aucun des grands problèmes du monde sans un partenariat mondial de grande envergure, a souligné Lech Walesa, estimant que le monde a besoin de changements et de mesures urgentes pour combattre la faim, les conflits, les catastrophes naturelles, les changements climatiques, les maladies et le terrorisme. Il ne faut pas avoir peur de rêver. Le mouvement Solidarnosc a pu en son temps mobiliser des millions de gens et contraindre une idéologie néfaste à la défaite.

3.Agenda 2010 de la solidarité internationale

En temps de crise, le besoin de s’informer sur les avancées vers plus d’équité et de justice sociale se fait pressant. Parce que la solidarité internationale nous concerne tous et qu’une prise de conscience est nécessaire pour un monde plus juste, l’Agenda 2010 de la solidarité internationale vous renseigne sur les différents modes d’engagement et de mobilisations.
A l’initiative de cet outil : dix-huit acteurs de la solidarité internationale et un média indépendant. Ils ont récolté mille et une informations pour vivre la solidarité internationale au quotidien.
Une façon originale et pratique de rappeler le combat, partout dans le monde, de mouvements de femmes, de jeunes, de précaires, de non-violents, de paysans, d’écologistes… pour une planète plus viable.

1.Bibliographie:
Lieu: Internet
Date de consultation: 14/12/09
site web:
http://www.buddhachannel.tv/portail/spip.php?article153
titre: Journée de la solidarité humaine

2.Bibliographie:
Lieu: Internet
date de consultation: 14/12/09
site web:
http://www.journee-mondiale.com/93/20_decembre-internationale_solidarite_humaine.htm
titre:20 décembre : Journée Internationale de La Solidarité Humaine

3.Bibliographie :

Lieu: internet

Date de consultation: 18/12/09

site web: http://www.iteco.be/+Agenda-2010-de-la-solidarite+

titre: Agenda 2010 de la solidarité internationale

dimanche 29 novembre 2009

La Journée du Climat


Des manifestations, flashmobs et autres performances ont eu lieu tout ce samedi à travers le monde pour marquer la journée mondiale du climat.
L’occasion pour des milliers de militants écologistes de tenter, comme ici à Paris, de réveiller les hommes politiques avant la conférence des Nations Unies qui aura lieu en décembre à Copenhague sur le climat.
A Bruxelles, Taïwan ou Sydney, tous ont mis en exergue ce nombre, 350, qui fait référence à la concentration de dioxyde de carbone dans l’atmosphère à ne pas dépasser pour éviter un réchauffement ingérable. Aujourd’hui nous sommes à 385 particules par million, le seuil acceptable est donc bien dépassé.
L’Union Européenne pour sa part s’est engagée à réduire de 20% ses émissions de Gaz à effet de serre, 30% en cas d’accord international par rapport au niveau de 1990 d’ici à 2020, et la France laisse entendre qu’elle pourrait aller jusqu‘à -40% en cas d’accord.(1)

Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :
° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;
° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables!(2)

Bibliographie:
1.Titre:La Journée du Climat
Date de consultaion:29/11/09
Adresse URL:http://fr.euronews.net/2009/10/24/manifestations-dans-la-monde-entier-pour-la-journee-du-climat/

2.Titre:Les risques du changement climatique
Date de consultation:29/11/09
Adresse URL:http://www.rac-f.org/8decembre

samedi 28 novembre 2009

Journée du climat




1.Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :
° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires
Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.



2.Après diffusion d’un documentaire, Monsieur Jaafari a signalé qu’il y’a deux ans, après que les principaux climatologues aient observé la fonte, à grande vitesse, des glaciers de l’Arctique et d’autres terribles signes qui sont liés au changements climatiques, une série d’études a montré que la planète devrait faire face à des catastrophes humaines et naturelles si la concentration de CO2 dans l’atmosphère se maintenait au-dessus des 350 ppm. La concentration actuelle de CO2 dans l’atmosphère est de 387 ppm.
Dans les pays en développement les couts d’adaptation seront compris entre 75 et 100 milliards de dollars US par an pour la période 2010-2050 (BM). Il est bien évident qu’il faut accélérer le processus de Copenhague (COP 15 prévu en décembre 2009) pour mettre en place un nouveau traité sur le climat basé sur la Responsabilité, la Solidarité et l’Equité.
Conclusion: Je pense que l'idee de la journee du climat est tres bonne car si on continus comme ça, toute des annees qui viennent seront pires et la pollution deviendra un caos. Aussi je crois que c'est une tres bonne idee celle de creer un ejournee du climat pour que les gens prennent conscience.
1.Bibliographie:
Adresse:
http://www.rac-f.org/8decembre
Date: 28 Novembre
Article: Journée mondiale du climat

2. Bibliographie:
Date: 28 Novembre
Article:Journée Internationale pour l’action autour du Climat 2009

mardi 17 novembre 2009

Journee du climat


Le changement climatique fait peser de nombreux risques sur notre planète :

° Multiplication des catastrophes climatiques (canicule, inondations, tempêtes…) ;
° Montée des eaux qui menace de disparition certains territoires et provoquera l’exode des milliers de « réfugiés climatiques » ;
° Menace sur la faune et la flore et multiplication des catastrophes alimentaires et sanitaires

Les fausses solutions que sont l’énergie nucléaire (polluante, dangereuse et proliférante) ou les agrocarburants et les mauvaises orientations comme le « tout autoroute » sont destinées à soutenir un modèle de développement dévastateur. Elles détournent des financements qui devraient être affectés à la promotion des économies d’énergie, de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables !

Du 3 au 15 décembre se tiendra à Bali la 13
e conférence internationale des Nations unies sur le changement climatique, pour préparer la suite du protocole de Kyoto.
Au même moment, la France dévoilera le projet de loi issu du Grenelle de l’Environnement.

Pour une véritable justice climatique1, les pays riches doivent s’engager à réduire de 30% leurs émissions de gaz à effet de serre, sans nucléaire, d’ici 2020.

Bibliographie:
Lien: Internet

Web:http://www.rac-f.org/8decembre

Date: 23/11/09

Article: Du local au global,agissons contre le changement climatique !

Conclusion:

On peut considérer l'Homme comme le grand responsable du réchauffement climatique que l'on connaît actuellement : il a en effet émis, depuis 1750, de grandes quantités de gaz à effet de serre qui ont engendré une augmentation de la température dans l'atmosphère d'environ 1°C, la nature ayant largement dépassé sa limite d'absorption de ces gaz.

Et le réchauffement de la planète n'est pas près de s'arrêter puisque l'on rejette encore, malgré les accords tels que le protocole de Kyoto ou de Montréal, des gaz dangereux pour l'avenir de l'Homme. Les conséquences à court terme, c'est à dire concernant notre génération, ne sont pas dramatiques : recul des littoraux, intensification des phénomènes extrêmes, bouleversement de l'agriculture, déplacement des espèces animales et végétales... Cependant la menace est bien réelle pour nos descendants : un réchauffement prolongé pourrait porter atteinte à la survie de l'espèce humaine !...

Ainsi, on peut dire que l'Homme représente une menace pour le climat, à cause de sa surproduction de gaz à effet de serre, et réciproquement, le climat représente une menace, à la fois pour l'homme et pour la nature, à travers les nombreux risques qui pèsent désormais sur notre planète.

jeudi 12 novembre 2009

Journée sans achat


1.La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.

2.Achetez moins vivez plus ! La journée mondiale sans achat a un gros avantage : elle ne vous coûte rien !
Tout ce que nous achetons a un impact sur la planète. La journée sans achat veut mettre en lumière les conséquences éthiques et environnementales de notre société de consommation.
Les pays "développés", 20% de la population mondiale, consomment près de 80% des ressources naturelles, provoquant des dommages aussi bien sociaux qu’environnementaux.
En tant que consommateurs, il faut nous interroger sur les produits que nous achetons et les compagnies qui les proposent. La journée sans achat propose de commencer cette réflexion.


1.Bibliographie:
Adresse:http://www.journee-mondiale.com/141/26_novembre-sans_achats.htm
Lieu: internet
Date: 12 novembre
article:26 novembre : Journée Mondiale Sans Achats

2.Bibliographie:
Adresse:http://www.ressources-solidaires.org/Journee-sans-achat
lieu: internet
Date: 12 novembre
article:Journée sans achat

mardi 10 novembre 2009

Journée Sans Achat


1.La journée sans achat ou Buy Nothing Day (BND) aux États-Unis est une manifestation non-violente de boycott des achats, pour protester contre l'excès de consommation. Reprise internationalement par Adbusters, l'opération fut lancée en 1992 par le canadien Ted Dave avec le slogan enough is enough ! (assez c'est assez). La première fois elle s'appelait No shop day puis cela fut transformé en Buy nothing day.
La Journée sans achats a lieu le dernier vendredi (Amérique du nord) ou samedi (Europe) de novembre. C'est la journée où, aux États-Unis, les chiffres de ventes sont les moins élevés de l'année
[réf. nécessaire


2.Une journée sans achat...
-pour l'environnementparce que la majeure partie des problèmes environnementaux sont causés par la surconsommation, le transport, le suremballage, les déchets...
-pour le juste partage des richessesparce que notre voracité à consommer s'appuie sur l'exploitation de populations affamées...
-pour des raisons budgétairesparce que trop de familles s'endettent et se rendent malheureuses -pour maintenir leur rythme effréné de consommation...
-pour se simplifier la viecar il y a tant de choses plus agréables à faire que de courir les magasins -pour chercher des cadeaux inutiles à offrir à des gens qui n'en ont pas vraiment besoin...
-pour retrouver d'autres valeurs parce qu'il vaut mieux être qu'avoir Toutes les raisons sont bonnes de participer...

Bibliographie: 1.Titre:Introduction Date de consultation:10/11/09 Adresse URL:http://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9e_sans_achat

2.Titre:Pourquoi une journée sansvoiture? Date de consultation:10/11/09 Adresse URL: http://www.consommateur.qc.ca/union/207.htm

Photo. Titre:Journée sans voiture Date de consultaion:10/11/09 Adresse URL:http://media.paperblog.fr/i/177/1777663/samedi-4-avril-2009-journee-sans-achat-L-2.jpeg




dimanche 8 novembre 2009

Journee sans achat

Aujourd’hui le caddie est devenu un véritable totem pour les sociétés occidentales. Notre niveau de satisfaction dépend généralement de son niveau de remplissage et nous lorgnons toujours avec envie sur les caddies plus remplis que le notre. J’achète donc je suis : c’est le credo des accros de la carte de crédit. Qui n’a jamais été pris d’une fièvre acheteuse ? Et qui n’a jamais regretté ses achats impulsifs ?

Pour tout ceux qui en ont assez de faire partie de cette société de surconsommation, un rendez-vous incontournable : la journée sans achats le 23 novembre 2002. La journée sans achats, c’est 24 heures de réflexion sur l’impact social, économique et écologique de la consommation des pays riches sur l’ensemble de la planète. N’oublions pas que 20% de la population mondiale consomme 80% des ressources planétaires !

Lancé à l’initiative de la Media Fondation (1) à Vancouver, cet événement est relayé dans de nombreux pays depuis plusieurs années. C’est une journée symbolique dont le mot d’ordre est de ne rien acheter et de réfléchir à ce que signifie réellement la société de consommation. L’un des seuls pouvoirs dont chacun d’entre nous dispose est celui de décider d’acheter ou de ne pas acheter. Nous pouvons librement décider où et à quel prix nous passerons à la caisse. De nos jours l’être humain est trop souvent réduit à une seule dimension : le consommateur. C’est la négation pure et simple de notre humanité. Mais quoi que pensent les multinationales, nous ne nous réduisons pas à un porte-monnaie. Nous avons aussi une dimension spirituelle, culturelle et philosophique qui font notre richesse. Nous avons effectivement des désirs mais ce n’est certainement pas une quelconque marque de chips, eau de toilette ou de chaussures de sport qui pourrait les combler.

La journée sans achats est le meilleur moyen de s’interroger sur ses actes de consommation. Il est nécessaire de prendre de temps en temps du recul pour réfléchir aux valeurs que nous souhaitons défendre, comme le partage, le respect et la qualité. C’est aussi un instant privilégié pour nous interroger non seulement sur nos droits, mais surtout sur nos devoirs et nos responsabilités. Nous disposons d’un réel pouvoir économique qui peut se transformer en un pouvoir de pression. La décision d’achat ou de non-achat peut donc devenir un acte politique qui contribuerait à changer le système. Consommer autrement, c’est revendiquer sa volonté de voir évoluer les législations, c’est dire oui à une approche éthique de l’acte d’achat, aux alternatives économiques et à une autre gestion de son temps.

On nous pousse à croire que surconsommer est notre destinée d’acteur social ; notre raison d’être dans la société. D’ailleurs, ne voit-on pas que sont exclus tout ceux qui ne peuvent, comme nous, faire leur "shopping " hebdomadaire ! Notre vie ne dépend-elle que de la couleur de notre carte de crédit ? L’achat serait-il notre seul moyen d’exister ? Nous vous laissons le soin de répondre à ces questions� Mais d’ici-là, n’oubliez pas ce rendez-vous : le 23 novembre 2002, toute une journée sans achats !

Site:http://www.actionconsommation.org/publication/article.php3?id_article=102
Lien: Internet
Article: La journee sans achat ou le pouvoir de dire non!
Date: 8/11/09



jeudi 5 novembre 2009

Journée Mondiale sans voiture




Pourquoi une journée "En ville, sans ma voiture !" ?

Une telle entreprise est née d'un constat : les Européens sont fortement préoccupés par la pollution et la mobilité urbaine. En ville, beaucoup se plaignent d'une mauvaise qualité de l'air, de nuisances sonores, d'encombrements, etc. Malgré cela, le parc automobile et la circulation croissent...

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.

La journée sans voitures existe depuis 1998 et les bilans des dernières années montrent une certaine désafection et un réel désengagement des grandes communautés urbaines :

En France, la 7e édition de la "Journée internationale en ville sans ma voiture" (2004) s'est quelque peu essouflée en France, avec seulement 59 villes participantes mercredi 22 septembre contre 72 en 2003 et 98 en 2002. A Paris, seuls quelques quartiers étaient interdits aux voitures.
Parmi les 58 villes françaises qui ont participé cette année à l'opération figurent Paris, Orléans, Rennes, Narbonne, Poitiers, Lyon, Calais, Mantes-la-Jolie, Amiens, Avignon, Vannes et bien entendu La Rochelle qui fut une pionnière en la matière.

Dans le reste du monde, des reculs sont aussi constatés : Au Portugal, 54 villes, sept de moins qu'en 2003, étaient officiellement concernées par la journée sans voiture. Dans la plupart des grandes villes scandinaves, autrichiennes, grecques, italiennes ou néerlandaises, les résultats ont aussi été très mitigés, par manque d'organisation ou encore de coopération des automobilistes. Moscou, Berlin, Budapest et Amsterdam n'ont même pas participé.

Globalement, ce sont tout de même près de 1500 villes dans une quarantaine de pays se seront mobilisées en 2004.

Depuis 2007, cette journée mondiale tend à être remplacée par une semaine de la mobilité qui vise à promouvoir l'usage des transports en communs...

Bibliographie:
Adresse:
http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm
Lieu:internet
Date: 5 novembre 2009
Article: 22 septembre : Journée Mondiale sans voiture

Journée International sans voiture
Dans le cadre de la Journée Internationale sans voitures du lundi 22 septembre, le Comité de citoyens Mont-Royal Avenue Verte est fier d'annoncer la tenue dans le Plateau Mont-Royal de deux événements qui s'ajoutent aux activités du centre-ville. Il s'agit d'une fête et d'un événement de sensibilisation se déroulant sur la place Gérald-Godin (en face du métro Mont-Royal) ainsi qu'une randonnée de masse critique sur l'avenue du Mont-Royal ouverte également aux piétons sur une partie du trajet.

Plus de 1300 villes à travers le monde participeront cette année à la journée internationale « en ville sans ma voiture » lundi le 22 septembre prochain. Cette journée a pour but de favoriser la prise de conscience collective quant à la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique, l'effet de serre ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville et de sensibiliser la population quant aux alternatives à l'utilisation de la voiture particulière.

Bibliographie:
Adresse:
http://quebec.indymedia.org/es/node/13519
Lieu: internet
Date: 5 Novembre 2009
Article: Journée internationale sans voiture sur le plateau

mardi 3 novembre 2009

La Journée Mondiale sans voiture


Capitole en voiture, ça ne va pas être possible aujourd'hui. Journée mondiale sans voiture oblige, le cœur historique de la Ville rose sera interdit aux véhicules motorisés, de 9 heures à 16 heures.

Les rues Alsace-Lorraine, Pargaminières, Romiguières, Lafayette, Rémusat (partiellement) et Deville et la place du Capitole, ainsi que les petites rues alentour (notre carte) seront accessibles aux seuls riverains, véhicules de secours, services à la personne, taxis et interventions urgentes des artisans. Le parking Capitole sera accessible aux abonnés entre 9 et 16 heures, les résidents pouvant sortir du périmètre concerné avec leurs voitures (ou motos), stationnés en parking public, privé ou dans la rue.

Les livraisons ne seront autorisées que jusqu'à 10 heures. Des agents d'ambiance (?) et des policiers municipaux filtreront les automobilistes. La navette électrique gratuite du centre sera maintenue. On pourra accéder au secteur à pied ou à vélo, en métro ou en bus, qui fonctionneront normalement.

« Il s'agit de sensibiliser les gens à d'autres modes de déplacement », explique Bernard Marquié, adjoint à la Mobilité (lire ci-contre).

Isabelle Hardy, adjointe au commerce a autorisé les commerçants, par courrier, à « (s')approprier exceptionnellement l'espace public sur le trottoir devant (leur) point de vente » en préservant accès privés et cheminement piéton.

Une journée sans voiture, pour la première fois hors du dimanche (ou du lundi l'an dernier) qui pourrait préfigurer l'avenir de l'hypercentre à plus ou moins long terme.

Bibliographie:

Adresse:http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/22/677825-Journee-sans-voiture-aujourd-hui-dans-l-hypercentre.html

Lien: Internet

Date: 06/11/09

Des rollers, vélos, tandems, skate-boards… le 9 septembre 1997, les rochelais se réappropriaient le centre-ville le temps d’une journée, usant, non sans plaisir, des modes de déplacement alternatifs à la voiture thermique et ses fumées d’échappement. Un air de fête planait sur la cité vibrant au son des pas et des conversations, une rumeur oubliée, écrasée d’ordinaire par le bruit des moteurs

Bibliographie:

Adresse:http://www.agglo-larochelle.fr/plus/ecologie_sansvoiture.php

Lien: Internet

Date: 11/05/09

vendredi 30 octobre 2009

La Journée Sans Voiture


Une journée sans voiture vise à expérimenter dans le monde une journée de fermeture de la ville aux voitures. Cette journée est pour les piétons, les cyclistes et les transports en commun l'occasion de s'approprier l'espace urbain.
Initialement fixées au
22 septembre au niveau européen, les journées sans voiture font à présent partie d'une initiative plus large appelée Semaine de la mobilité.(1)

La journée "En ville, sans ma voiture !" a pour objectif de favoriser la prise de conscience collective de la nécessité d'agir contre les nuisances générées par la croissance du trafic motorisé en milieu urbain. Il ne s'agit pas seulement de lutter contre la pollution atmosphérique ou contre le bruit mais aussi d'améliorer la qualité de vie en ville.(2)

Cette journée s'est crée aussi pour limiter les gaz à effet de serre et tenter de sauver la planète en faisant face au changement climatique, 1535 villes dans le monde se sont unies. Elles ont toutes opté pour une journée sans voiture. L’initiative a vu le jour en Europe, mais s’est rapidement développée à travers 48 pays. A Montréal, dès demain matin, jeudi 20 septembre, le centre ville sera interdit à tous les véhicules à moteur pour cette 5ème édition. Cette journée sera ponctuée par une marche d’une quarantaine d’entreprises et d’institutions de la Ville. Cette pollution, invisible à l’œil nu (et encore ! ), est catastrophique, non seulement pour l’avenir de la planète, mais aussi pour notre santé actuelle. En effet, 10 % des maladies respiratoires, aujourd'hui, proviendraient de cette pollution. Il faut dire que, selon la direction de la santé publique de Montréal, 47 % des émissions de gaz proviennent des véhicules à moteur : c’est un chiffre énorme ! Vive le vélo !(3)

Depuis 2007, cette journée mondiale tend à être remplacée par une semaine de la mobilité qui vise à promouvoir l'usage des transports en communs...(4)


Bibliographie:
1.Titre:La journée sans voiture
Date de consultation:30/10/09

2.Titre:Objectif de la journée sans voiture
Date de consultation:30/10/09
Adresse URL:
http://www.journee-mondiale.com/118/22_septembre-sans_voiture.htm

3.Titre:Objectif de la journée sans voiture
Date de consultation:30/10/09
Adresse URL:
http://www.qctop.com/actualites/journee-sans-voiture-a-montreal.htm

4.Titre:Transports en communs
Date de consultation:30/10/09
(Photo)Titre:Bruxelles pendant la journée sans voiture en 2005
Date de consultation:30/10/09
Adresse URL:

jeudi 15 octobre 2009

Les causes de la faim dans le monde

Le paradoxe est qu’il s’agit moins d’une insuffisance globale de la quantité de nourriture produite que d’un problème de transport et d’insécurité. On sait que le progrès technique a permis, dans les pays développés, de multiplier par dix les rendements à l’hectare cultivé, tout en diminuant de 9/10èmes également la population employée à cultiver ces terres. Les pays développés disposent de larges excédents de céréales, de produits laitiers, de viande, dont ils ne savent que faire. Dans les pays pauvres eux-mêmes, la production alimentaire et les rendements progressent, permettant souvent à ces pays d’être auto suffisants, voire de devenir exportateurs : voyez le cas du Brésil où des poches de malnutrition subsistent pourtant dans le « Nord-Este » ou du Vietnam. Le problème est que, dans des pays où les réseaux de transports sont faibles, voire inexistants dans certaines zones, il est très difficile d’acheminer les excédents des uns vers les populations en état de déficience alimentaire. L’exemple de Madagascar le montre bien : cette ile, vaste comme la France, et fertile, dispose globalement de ressources alimentaires suffisantes, mais plus du tiers de sa population est sous-alimentée, car elle est incapable de transporter, en période de crise, la nourriture des provinces du nord vers les provinces du sud, plus sèches.
L’insécurité est un autre obstacle grave à la solution du problème. Il est facile de constater une corrélation étroite entre la carte des zones affamées et celle des pays frappés par la guerre civile, - comme la Somalie, le Libéria, le Congo ex belge, l’Angola, le Soudan (avec le drame actuel du Darfour), ou en Asie, l’Afghanistan et, dans un passé récent, le Cambodge.

Bibliographie:
Titre:Les causes de la faim dans le monde
Date de consultation:15/10/09
Adresse URL:http://www.canalacademie.com/La-faim-dans-le-monde.html
Adresse URL photographie:

La faim demeure la principale cause de mortalité dans le monde


Le Programme alimentaire mondial (PAM) a souligné jeudi 16 octobre, dans un message à l'occasion de la Journée mondiale de l'alimentation, organisée jeudi 16 octobre, que "malgré les généreuses donations de la communauté internationale, des millions de personnes souffrent encore de la faim", Pour l'agence des Nations unies basée à Rome, "le PAM est confronté à la plus importante demande d'aide alimentaire en quarante ans".

"Cette année, le PAM a besoin de plus de 4,3 milliards de dollars pour aider à nourrir 110 millions de personnes, mais il lui manque encore 600 millions de dollars", a déploré l'agence onusienne. "Parmi les populations qui souffrent de la faim, il y a des centaines de milliers de Libériens que les organisations internationales sont toujours dans l'impossibilité de secourir", a précisé le PAM.

"300 000 autres souffrent des conséquences de la sécheresse en Erythrée et en Ouganda, la rébellion dans le district de Teso empêche l'acheminement de l'aide alimentaire destinée à 292 000 personnes déplacées", a ajouté l'agence. Le PAM alerte également sur les difficultés alimentaires en Corée du Nord et en Haïti.

"Il est inacceptable que la faim et la malnutrition soient encore aujourd'hui la principale cause de la mortalité dans le monde", a dénoncé le directeur du PAM, l'Américain James Morris. "Des millions de gens comptent sur nous pour leur repas quotidien et nous devons parler d'une voix forte pour alerter sur cette situation", a-t-il insisté.

Plus de 800 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde et les chefs d'État et de gouvernement se sont engagés à plusieurs reprises à tout mettre en œuvre pour réduire le nombre de moitié d'ici à 2015, a rappelé le PAM.


Biographie:
Titre:La faim demeure la principale cause de mortalité dans le monde
Date de consultation:15/10/09
Adresse URL:http://terresacree.org/faim.htm
Adresse URL photographie:http://terresacree.org/faim.htm

Faim monde


815 millions de personnes souffrent de la faim dans le monde. Ce chiffre diminue en moyenne de 6 millions par an. Mais il faudrait que cette baisse passe à 28 millions pour réduire de moitié le nombre de personnes mal nourries d'ici à 2015, objectif fixé par l'Onu.

30 pays d'Afrique subsaharienne souffrent de sous-alimentation, soit plus de la moitié des 50 pays recensés par l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). La Somalie détient le triste record de malnutrition de la planète: 75% de sa population en souffre.

24.000 personnes meurent de faim chaque jour dans le monde, soit une toutes les quatre secondes.

3 600 calories avalées en moyenne quotidiennement par un Américain: 67% de plus qu'un Africain !

350 milliards d'euros, c'est la somme que les pays de l'OCDE (les nations les plus riches) consacrent chaque année aux subventions agricoles. Dans le même temps, ils versent 8 milliards d'euros pour soutenir l'agriculture des pays en développement.

Quatre multinationales se partagent 90% du commerce mondial des céréales.

Biographie:
Titre: La Faim dan le monde
Date de consultation:15/10/09
Adresse URL:
http://terresacree.org/faim.htm

jeudi 1 octobre 2009

Developpement durable


Le développement durable a été défini comme “le développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs” par le rapport Brundtland (du nom du Premier ministre de Norvège), publié en 1987. Le processus vise à concilier l’écologique, l’économique et le social, en établissant une sorte de cercle “vertueux” entre ces trois piliers.
Ce concept est au cœur d’un nouveau projet de société permettant de remédier aux excès et aux dysfonctionnements d’un mode de développement dont les limites ont été fortement dénoncées dès le début des années 1970. Les effets de l’industrialisation (production de déchets en masse, pollutions, etc.) apparaissent alors et la désertification, la déforestation, le “trou” dans la couche d’ozone constituent, une décennie plus tard, de nouvelles sources d’inquiétude, bientôt suivies par l’érosion de la biodiversité et le réchauffement climatique.
Dans le même temps, on constate que les politiques économiques de la seconde moitié du XXe siècle n’ont guère amélioré la situation des plus pauvres. Les inégalités se sont même creusées, ce qui pose la question de la croissance et du développement.
Popularisé par le Sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992, le développement durable s’est affirmé comme un concept à la mode. En France, il a acquis une place importante, dont témoignent l’instauration d’un ministère de l’Ecologie et du Développement durable, ainsi que la participation active du président de la République au Sommet de Johannesburg en 2002.
Le développement durable est désormais une préoccupation des Etats, des régions et des communes, il entre aussi dans les stratégies des sociétés industrielles et des acteurs du secteur tertiaire.
La notion est également devenue objet d’enseignement, de l’école primaire au lycée. Les médias s'en sont emparés, les publications sur le sujet sont nombreuses, émanant d’économistes, d’urbanistes, de politistes, de juristes, d’aménageurs ou de géographes.
Le développement durable, qui se veut une nouvelle manière de penser le monde et de le “gérer”, qui tente d’apporter des réponses aux inquiétudes relatives à la planète, renvoie en réalité à de très nombreuses questions. Néanmoins, en dépit du flou conceptuel et politique qui entoure cette notion, en dépit des doutes sur les instruments à adopter pour sa mise en pratique, de la difficulté d’articulation et de définition des échelles pertinentes à sa mise en œuvre, malgré la multitude d’acteurs et la prégnance des conflits qui caractérisent leurs relations, le développement durable a acquis une dimension mondiale dont il est nécessaire de souligner l’intérêt comme les contradictions ».



Titre : Developpement Durable
Date de consultation : 18/09/09
Adresse URL :http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/developpement-durable/developpement-durable.shtml

mercredi 30 septembre 2009

Histoire du developpement durable




La Révolution industrielle du XIXe siècle a introduit des critères de croissance essentiellement économiques, principal critère aisément mesurable : ainsi le produit intérieur brut dont l'origine remonte aux années 1930 est souvent vu comme l'indicateur de la bonne santé d'un pays. Des corrections ont été apportées dans la deuxième moitié du XIXe siècle sur le plan social, avec d'importantes avancées sociales .


Mais les pays développés ont pris conscience depuis les chocs pétroliers de 1973 et 1979 que leur prospérité matérielle était basée sur l'utilisation intensive de ressources naturelles finies, et que par conséquent, outre l'économique et le social, un troisième aspect avait été ignoré et négligé : l'environnement. Pour certains analystes, le modèle de développement industriel n'est pas viable ou soutenable sur le plan environnemental, car il ne permet pas un "développement" qui puisse durer. Les points cruciaux en faveur de cette affirmation sont l'épuisement des ressources naturelles (matières premières, énergies fossiles pour les humains), la destruction et la fragmentation des écosystèmes, ainsi que la diminution de la biodiversité qui diminuent la résilience de la planète ou encore le changement climatique dû aux émissions de gaz à effet de serre et la pollution dû aux activités humaines. La multiplication des catastrophes naturelles (inondations, tempêtes, canicules) et l'élévation du niveau des océans sont des manifestations du changement climatique. Les catastrophes industrielles de ces trente dernières années (Seveso (1976), Bhopal (1984), Tchernobyl (1986), Exxon Valdez (1989), etc.) ont interpelé l'opinion publique et les associations telles que le WWF, les Amis de la Terre ou encore Greenpeace. (Voir aussi Chronologie de l'écologisme)

Au problème de viabilité, subsiste une pensée humaine à adapter. Ce qui s'ajoute à un problème d'équité : les pauvres subissent le plus la crise écologique et climatique, et il est à craindre que le souhait de croissance des pays sous-développés (souvent appelés pays du Sud) vers un état de prospérité similaire, édifié sur des principes équivalents, n'implique une dégradation encore plus importante et accélérée de l'habitat humain et possiblement de la biosphère. Ainsi, si tous les États de la planète adoptaient l'American Way Of Life (qui consomme près de 25% des ressources de la Terre pour 7% de la population) il faudrait 5 ou 6 planètes pour subvenir aux besoins de tous selon l'association écologiste WWF.

Le développement actuel étant consommateur de ressources non renouvelables et considéré par ces critiques comme inéquitable, une réflexion a été menée autour d'un nouveau mode de développement, appelé « développement durable ».

titre: histoire du developpement durable

consulté: 24/09/09

adresse: http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_durable

Développement durable 09


Le développement durable (ou développement soutenable, anglicisme tiré de Sustentateur développement) est une nouvelle conception de l'intérêt public, appliqué à la croissance économique et reconsidéré à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects écologiques et culturels généraux d'une planète globalisée.Selon la définition proposée en 1987 par la Commission mondiale sur l’environnement et le développement dans le Rapport Brundtland[1], le développement durable est :« un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de « besoins », et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale impose sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. »Face à l'urgence de la crise écologique et sociale qui se manifeste désormais de manière mondialisée (changement climatique, raréfaction des ressources naturelles, écarts entre pays développés et sous-développés, perte drastique de biodiversité, catastrophes naturelles et industrielles), le développement durable (ou développement soutenable, anglicisme tiré de Sustentateur développement) est une réponse de tous les acteurs (États, marché, société civile) pour reconsidérer la croissance économique à l'échelle mondiale afin de prendre en compte les aspects écologiques, environnementaux et sociaux humain du développement.Il s’agit aussi, en s’appuyant sur de nouvelles valeurs universelles (responsabilité, participation et partage[2], principe de précaution, débat[3], innovation[4], …) d’affirmer une approche double :Dans le temps : nous avons le droit d’utiliser les ressources de la Terre mais le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations futures ;Dans l’espace : chaque humain a le même droit aux ressources de la Terre (principe de destination universelle des biens).Tous les secteurs d'activité sont concernés par le développement durable : l'agriculture, l'industrie, l'habitation, l'organisation familiale, mais aussi les services (finance, tourisme,...) qui, contrairement à une opinion quelquefois répandue, ne sont pas immatériels.

Biographie:
Titre: Développement durable
Date de consultation:16/09/09
Adresse URL:http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9veloppement_durable